Des voix masculines ont également résonné dans la salle Georges Brassens durant les quatre jours du festival, grâce aussi, ne l’oublions pas, à deux Don Juan (gloire à eux !), « au son du majestueux Reynald et à la « pyrotechnie » de Jean-Pierre ». Ce sont, à peine déformés, les mots de Michel Avallone…Les habitués de nos rendez-vous commencent à bien connaitre, avec Dorine Duchez à l’accordéon, et désormais Claude Delrieu à la guitare. On a toujours plaisir à retrouver cet « éternel estivant » à la voix si singulière (bon, en même temps, c’est un Sétois lui aussi…), et qui nous revient à chaque fois sous des couleurs différentes, avec un style en perpétuelle évolution. Avec en particulier un éblouissant « Le vieux Léon » par deux accordéonistes.
Le sétois Michel Avallone s’empare avec talent, respect, et de sa voix singulière, des chansons de Brassens. Avec Dorine Duchez à l’accordéon et Claude Delrieu à la guitare, il partage avec nous ce plaisir des mots et des notes réinventés de cet univers poétique si personnel et pourtant si universel. Les rythmes, les couleurs, se promènent avec virtuosité ailleurs…dans d’autres chaleurs. Il émane de ce bouquet de notes multicolores un parfum subtil et épicé qui ravit les cœurs, les oreilles, et l’esprit d’un large public.
Et mon tout est un spectacle plein de fraicheur, de talent…
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Ils en parlent
Michel Puech écrit à propos de l’éternel estivant
« Quel est le plaisantin qui prétend que Georges Brassens nous a quittés ? Il est vrai qu’il ne nous présente plus de nouveautés mais le répertoire qu’il nous a laissé est déjà bien conséquent et a de quoi occuper une bonne partie de la scène « chansons à textes ». Les textes de Brassens, finement ciselés tant dans l’écriture que dans le rythme et la mélodie ont de quoi séduire par leur humour, leur puissance, leur humanisme, leur richesse et leur générosité.
Le sétois Michel Avallone – chant, guitare – s’empare avec talent et respect d’une part de l’oeuvre de son aîné concitoyen avec Dorine Duchez à l’accordéon et Claude Durieu à la guitare électrique et basse. Tous les trois partagent avec nous ce plaisir des mots et des notes réinventés de cet univers poétique si personnel et pourtant si universel.
Jacques Vassal
« Michel Avallone vous capte, d’abord par sa voix, grave, chaude et singulière. On s’y habitue, puis on l’aime. La confidence s’impose et la confiance s’installe. D’autant que le répertoire est de belle facture. Une vraie présence en public. »