Chansons belles et rebelles. Michel Avallone, voix chaude et singulière, Stéphanie Meyer violoncellistevirtuose, et Frédéric Jaupart accordéoniste de renom, rendent un éclat, une « embellie » des plus enthousiastes à l’œuvre de Jean Ferrat.
Plus de vingt titres : Ma France, L’embellie, La complainte de Pablo Neruda, A Santiago de Cuba, La matinée, Nuits et Brouillard et bien d’autres chansons intemporelles.
Valses, rythmes syncopés, duo voix-violoncelle, classique instrumental, jazz et tango accompagnent avec respect les magnifiques textes.
Stéphanie Meyer, violoncelleliste formée au Québec et à Bâle, participe à des festivals de renom. Elle a joué sous la baguette de Mstislav Rostropovitch et participé à des concerts de musique de chambre en compagnie d’Ivry Gitlis.
Le Sétois Michel Avallone, guitariste de jazz au sein de plusieurs formations a rapporté de ses séjours à Madagascar, Maurice et la Réunion d’autres rythmes de jazz. Avec sa « Compagnie de L’Exil », il chante ses compositions et des reprises de Ferré et Brassens…
Frédéric Jaupart, débute l’accordéon à 9 ans, attiré par le jazz et l’improvisation, il étudie le piano. Diplômé de jazz du conservatoire de Chambéry, il participe à de nombreux spectacles, comédies musicales, enregistrements, aussi bien au piano qu’à l’accordéon.
Stéphanie Meyer
La violoncelliste Stéphanie Meyer est née à Montréal, au Québec, où elle a commencé ses études de violoncelle au Conservatoire de Musique de sa ville natale. Elle a ensuite complété sa formation en Suisse à l’Académie de Bâle qui lui décerna son diplôme de soliste. Récipiendaire de plusieurs prix, elle joue régulièrement dans des festivals de renom. Elle a participé à des concerts de musique de chambre en compagnie d‘Ivry Gitlis et joué sous la baguette de Mstislav Rostropovitch. Elle vient d’une famille où la musique a toujours eu une place privilégiée. Son père, musicien de Jazz, éveille dès son jeune âge son intérêt pour les musiques de tous genres et sa mère, professeure de lettres, lui transmet la valeur de la langue française à travers laquelle elle découvre la richesse de la chanson: Georges Brassens, Jean Ferrat, Barbara, Jacques Brel, pour n’en nommer que quelques-un(e)s. Elle commence donc assez vite à s’intéresser à l’exploitation de son instrument dans d’autres domaines que celui de la musique classique. Avec talent, passion et une approche toute personnelle, elle joint sa formation classique à l’accompagnement et l’arrangement de chansons. Une vraie réussite dans ce spectacle consacré à Jean FERRAT où les cordes du violoncelle épousent à merveille les autres cordes de la guitare et de l‘ukulélé ainsi que le chant de Michel Avallone.
Michel Avallone
Dans la famille Avallone, Sétoise pure mer, les vinyles de Brassens et de Ferrat voguent en 45 ou 33 tours. L’oreille de Michel s’en imprègne jusqu’à la fin des années 80 où il déclame les poètes dans les bars, restaurants, cabarets … Puis il étudie la guitare jazz pendant 3 années, et joue au sein de plusieurs formations musicales.
Le port de Sète lui inspire le voyage. Il part à la découverte d’autres rythmes sur l’île de la Réunion, à Madagascar et à l’île Maurice. A son retour, riche d’un jazz chaloupé, et d’un carnet de voyage bien rempli de projets d’écriture, il crée « la Compagnie de L’Exil ». Depuis plus de 25 ans, il se produit en solo ou accompagné de 2 à 3 musiciens. Ses propres compositions (3 albums à son actif, prix de la SACEM à Angoulême) et ses interprétations de Léo Ferré (1 album), des poètes en musique (1 album) et de « l’éternel estivant » (1 album) vont traverser la France et l’Europe (Berlin, Bruxelles, Genève, Italie…). Il sera l’invité en premières parties de Hubert-Félix-Thièfaine, Franscesca Solleville, Marcel Amont, Jean Guidoni, Bruno Brel…Aujourd’hui c’est avec un réel plaisir qu’il nous présente son nouveau spectacle « Jean Ferrat Chanté par Michel Avallone » avec Stéphanie Meyer au Violoncelle.
Frédéric Jaupart
Frédéric Jaupart débute l’apprentissage de la musique à 9 ans, avec l’accordéon. Plus tard, attiré par le jazz et l’improvisation, il se met à étudier le piano et obtient années le Diplôme d’Etudes Musicales de jazz au conservatoire de Chambéry. Il a participé à de nombreux projets, groupes, spectacles, comédies musicales, enregistrements, aussi bien au piano qu’à l’accordéon. Il a notamment joué de l’accordéon dans « le violon sur le toit, Paris 2006 » et dans « la guinguette a rouvert ses volets, Paris 2005 », spectacles nominés aux Molières. Il a enregistré l’album de jazz, « comme deux Piaf » : duo d’accordéon, avec R. Posselt.
Nos autres évènements à venir
Brassens repris tout en grâce exquise et sensibilité touchante par Alice Richtarch. Accompagnements plus près des versions originales de Greg Pittet à la guitare et Rafael Gunti à la basse. Avec Sébastien Giniaux, l’un des meilleurs guitaristes français de jazz, notamment manouche, pour épicer le répertoire de contrechamps.
Hommage à cet esprit libre qui incarne la Méditerranée, l’Orient, la Grèce et une certaine idée de l’universalité de son message d’amour. Sur scène, Cyril, accompagné de ses musiciens, retrace la vie de Moustaki : de son Alexandrie natale à l’ile Saint Louis, on y croise Edith Piaf, Serge Reggiani ou Barbara, on traverse l’Atlantique pour rejoindre les rives brésiliennes. Un véritable voyage en musique.
Michel Avallone, Dorine Duchez, Stéphanie Meyer-Zikri et Céline Faucher en première partie.
Un dialogue musical de toute beauté, à la synchronisation parfaite entre accordéon, violoncelle, guitare et la voix singulière et chaude de Michel Avallone. Céline Faucher chanteuse québécoise, puise dans le répertoire de sa Province. Ambiance swing, folk, tango où fourmillent humour, poésie et émotion.
