Comme dit précédemment : l’édition 2019 du festival nous a permis d’accueillir deux interprètes féminines tout simplement exceptionnelles et bluffantes ! Jeudi nous nous promettions de reprendre toujours un peu, et même beaucoup de Brassens. Et samedi nous souhaitions également rester plus longtemps tout contre Brassens lorsque l’on a passé un peu plus d’une heure avec Pauline Dupuy, sa « grand-mère », et l’étonnant Michael John Wookey, bercés par un formidable Contrebrassens. Et le fidèle reporter de l’ADSA d’écrire : « intelligence et malice, Pauline est une des plus originales interprètes féminines de Brassens ».
Contrebrassens avec Pauline Dupuy apporte un regard neuf à Brassens. Révélant la saveur musicale de ses mélodies et la profondeur de ses textes, elle nous promène dans des histoires choisies autour de la femme… Pauline Dupuy ne revisite pas Brassens, elle incarne l’aspect féminin de ses textes qu’elle interprète avec malice et sensibilité. La guitare de Michael Wookey, à l’univers fantasque et surprenant se marie avec merveille et justesse à la douceur et la sobriété de la contrebassiste.
https://www.elico-productions.fr/contrebrassens.html
Ils en parlent
Pauline Dupuy
Brassens me fait du bien, j’aimerais qu’il vous en fasse aussi. Ce qu’il nous raconte est drôle, profond et engagé. Si on a aujourd’hui besoin de sens, on a aussi besoin de son humour et de ses valeurs.
Marie-Catherine Mardi, Télérama
….. à la contrebasse, Pauline Dupuy ose l’un des plus jolis répertoires : celui de Brassens. En exploitant toutes les sonorités, y compris cuivrées, de son instrument et en ralentissant le rythme de la plupart des chansons, elle redévoile la profondeur de textes magnifiques et met très en valeur toute leur humanité. La voix est douce, particulièrement mélodique, et en fait une très belle lecture. Brassens par une femme ? Georges en aurait fait une chanson.
Karine Prost, Rue du Théâtre
Un pari audacieux relevé haut la main par une artiste étonnante, qui nous offre un pur moment de bonheur (…) accomplit le tour de force de faire, tout à la fois, revivre Brassens et le faire oublier. Elle s’approprie ses textes avec humilité, les habille de sa voix, superbe.
Pauline Dupuy est Contrebrassens. Une femme, une contrebasse : Un ménage à deux qui révèle toute la saveur musicale des mélodies, la finesse des textes et nous fait redécouvrir Brassens. Promenade dans des histoires choisies autour de la femme… « Brassens par une femme ? Georges en aurait fait une chanson »
La folk de Michael Wookey vire tantôt New Orleans, tantôt pop, avec des relents de cirque ambulant. Sur scène ce véritable performer anglais en impose avec son univers fantasque.